Pour être informé des expositions et des événements,
recevoir les invitations aux vernissages, inscrivez-vous à
la lettre d'information du cabinet d'amateur.
expositions 2022
08.12.2022 > 23.12.2022
Ardif - « Mechazodiac »
avec la participation de Codex Urbanus, Nadège Dauvergne, Dawal, Horor, Levalet, Mani, Marquise, Nosbé, Jérôme Rasto, Steeven Salvat, Sax et Teuthis
Vernissage le jeudi 8 décembre jusqu’à 21 heures
Exposition du 8 au 23 décembre 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
17.12.2022
Ardif - « Zodiac map »
Présentation d'une nouvelle édition, Ardif sera présent le samedi 17 décembre de 14 à 18 heures !
Edition en tirage limité à 20 exemplaires
numérotés et signés -
Format 70 x 70 cm
Edition rehaussée à la main en tirage limité à 10 exemplaires
numérotés et signés -
Format 70 x 70 cm
Dédicaces du catalogue de l'exposition en tirage limité à 50 exemplaires
11.12.2022
Thomas - « Démarches à suivre... »
« Thomas a parcouru le monde. D'une vie de marin à celle d'artiste voyageur qui explore les continents pour y disperser ses œuvres, il est résolument tout-terrain. Il se meut à la recherche de points d'ancrage qui deviendront les écrins de ses trésors éphémères.
Ce livre dirigé par l'artiste nous invite à explorer les grands thèmes qui ont façonnés son œuvre. Les chapitres sont ceux qu'il a écrits au fil de ces quarante dernières années, en récoltant les fruits des différentes branches sinueuses et fertiles qui naissent de sa puissance créatrice. »
Sortie du livre Thomas - « Démarches à suivre... » Format 30 x 25 cm
Couverture rigide avec dorure à chaud
400 pages
Achevé d'mprimé en Suisse
en juin 2022
Tirage limité à 700 exemplaires
Dont 100 exemplaires numérotés accompagnés d'un dessin original
ISBN 978-2-8399-3592-0
Dédicace par l'artiste le dimanche 11 décembre de 15 à 19 heures
24.11.2022 > 04.12.2022
Petite Poissone - « En résumé pour conclure »
Vernissage le jeudi 24 novembre jusqu’à 21 heures
Exposition du 24 novembre au 4 décembre 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
En résumé, pour conclure, ma vie sentimentale et la condition de la femme ne se sont pas radicalement améliorées depuis ma dernière expo au cabinet d’amateur, mais j’ai au moins compris que je préférais l’effleurement de l’aventure à la morsure de l’amour sûr.
Des textes toujours très positifs sur la vie de couple et la condition de la femme donc.
09.11.2022 > 20.11.2022
Jérôme Rasto - « Du Déluge à Babel »
Vernissage le mercredi 9* novembre jusqu’à 21 heures
Exposition du mercredi 9 au dimanche 20 novembre 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Une lecture comme une promenade au cœur des récits du Déluge, de la Tour de Babel et de leurs questionnements universels.
Un langage anachronique nourri par l’iconographie médiévale et des références liées à notre culture contemporaine.
* En raison de la grève des transports du 10 novembre, la date du vernissage a été déplacée au mercredi 9 novembre !
20.11.2022
« Tristan et Iseut »- Illustré par Jérôme Rasto
Parution et dédicaces le dimanche 20 novembre de 15 à 19 heures
Cette version classique de Joseph Bédier (1900), philologue et spécialiste de la littérature médiévale, membre de l’Académie française, rend à Tristan et Iseut sa place parmi les plus grands textes classiques du Moyen-Âge, une ode à l’amour impossible.
Un très gros travail est fait sur la maquette du livre pour en faire un objet précieux, notamment une couverture cartonnée avec dorure à chaud, headband et marque-page. Il contient plus de 70 dessins.
Artiste peintre, Jérôme Rasto utilise un trait qui rappelle l’iconographie médiévale, le rendant contemporain grâce à l’emploi de motifs issus des jeux vidéo. Riche en symboles et références, son travail offre au lecteur de multiples clés lui permettant de plonger dans l’histoire. Artiste reconnu du domaine de l’Art urbain, il a réalisé de nombreuses expositions personnelles à Paris, ou encore à Los Angeles en 2022.
Parution : Novembre 2022
Format : 14,2 x 19,5 cm
Pages : 224 dont 36 en couleur
Couverture : Jérôme Rasto
Collection : Xanadu
Editeur : Forgotten Dreams
Prix : 25 euros
20.11.2022
Jérôme Rasto - « Edition Déluge »
En vente le dimanche 20 novembre de 15 à 19 heures
Edition pigmentaire sur Ultra Smooth Hahnemühle 305 g - Format 24 x 30 cm, tirage limité à 20 exemplaires numérotés et signés
20.10.2022 > 30.10.2022
« 50 AUTOPORTRAITS IMAGINAIRES »
Vernissage le jeudi 20 octobre jusqu’à 22 heures
Exposition du jeudi 20 au dimanche 30 octobre 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Pour son quinzième anniversaire, le cabinet d'amateur invite 50 artistes !
Jef Aérosol / Agathon / Agrume / Akelo / Ardif / Arnaud Boisramé / Mélanie Busnel / Fred Calmets / Codex Urbanus / Dark / Nadège Dauvergne / Dix10 / Dawal / Emyart’s / Ender / Patricia Erbelding / Etus / Juan Fantôme / Joanna Flatau / Théo Haggaï / Philippe Hérard / Veks Van Hillik / Mahn Kloix / Fred Le Chevalier / Levalet / Louyz / M. Chat / Mani / Marquise / Matt_tieu / Mimi The Clown / Mosko / Ricardo Mosner / Moyoshi / Ned / Nosbé / Paella? / Parvati / Petite Poissone / Simon Pradinas / Jérôme Rasto / Aurel Rubbish / Saint-Oma / Sax / Jean-Marc Scanreigh / David Selor / Tony Soulié / Thomas /
22.10.2022 > 23.10.2022
« Chroniques de l'art urbain » - Entretiens réalisés par Quentin Gassiat
Dédicaces par l'auteur le samedi 22 et le dimanche 23 octobre de 15 à 18 heures
Parution du volume 4 Tirage limité à 50 exemplaires
EVAZESIR / DJALOUZ / KLIM / MEGUMI NEMO / LADY K / THOM THOM / DAWAL / CAROLE B. / STOUL / SETH / SOFTTWIX / ROUGE / LA DACTYLO / JUAN FANTÔME / ITVAN KEBADIAN / MA RUE PAR ACHBE / MADEMOISELLE KAT / LOR-K / NED / POULAIN / MADAME / THÉO HAGGAÏ / MG LA BOMBA / FÉ_TAVIE / FRED LE CHEVALIER
Egalement disponibles
Volume 1
M.CHAT / JÉRÔME MESNAGER / CODEX URBANUS / ARTISTE-OUVRIER / SPEEDY GRAPHITO / ŽILDA / GÉRARD ZLOTYKAMIEN / JORDANE SAGET / MOSKO / RUE MEURT D’ART / JEF AÉROSOL / EPSYLON POINT / ARDIF / MOYOSHI / ADOR & SEMOR / AIRWAN ISLE GROOVE / LEVALET / MORÈJE / YZ / PHILIPPE HÉRARD / MADEMOISELLE MAURICE / FKDL / NEMO / JOHN HAMON / DARK SNOOOPY
Volume 2
JEAN FAUCHEUR / NIYAZ NADJAFOV / ENDER / NOSBÉ / LEBICHON / LE CYKLOP / LEGO TO THE PARTY / CLAIRE COURDAVAULT / RETRO / FABIO RIETI / NADÈGE DAUVERGNE / TOCTOC / JAERAYMIE / SAX / BEERENS / MATT_TIEU / LOUYZ / HOROR / TEUTHIS / LOISEAUCRAIE / TREIZE BIS / MANI / PAELLA? / NOTY AROZ / PARVATI
Volume 3
BAULT / MARQUISE / JÉRÔME RASTO / AUREL RUBBISH / DON MATEO / OAKOAK / PETITE POISSONE / BÉTON SPIRIT / KOUKA / MIKA HUSSER / DAVID SELOR / AMI IMAGINAIRE / SAINT OMA / À CÔTÉ DE LA PLAQUE / ANTONIO GALLEGO / AGRUME / ROMAIN FROQUET / VLP / PSYCKOZE / NININ / POPAY / MISSGREEN GRENOUILLE / PRIMAL / TETAR / MISS.TIC
13.10.2022 > 16.10.2022
La Dactylo - « Démo d'esprit »
Vernissage le jeudi 13 octobre jusqu’à 21 heures Dédicace du livre « Démo d'esprit » le jeudi
13 octobre de 18 à 21 heures et le dimanche 16 octobre de 15 à 19 heures !
Exposition du jeudi 13 au dimanche 16 octobre 2022 de 14 à 19 heures
A l'occasion de la sortie de son recueil « Démo d'esprit », aux éditions Verticales, La Dactylo s'installe du 13 au 16 octobre 2022 au cabinet d'amateur. Elle y dédicacera l'ouvrage et proposera à la vente plusieurs œuvres uniques, pochoirs réalisés à la bombe sur des panneaux de signalisation de différents formats faisant écho aux aphorismes du livre.
DÉMO D’ESPRIT, aphorismes & autres prismes
Depuis quelques années, La Dactylo essaime aux quatre coins de l’hexagone ses pochoirs doux-amers inspirés par des sujets d’une éternelle actualité : l’absurde et sa beauté, les occasions d’ébriété, les amours contrariées, les états d’âme de la société, les fausses citations de célébrités... Elle trouve dans cette pratique illicite une nouvelle identité et une multitude d’abonnés sur son compte Instagram. Ses aphorismes ici exposés, entre photos couleurs et jeux typographiques, prêtent à rire et à penser. Avec Démo d’esprit les marges du street art, assumant à la fois impact visuel et sensibilité poétique, renouent avec un genre littéraire millénaire : l’art du bref.
Née à Paris en 1991, La Dactylo est, au civil, photographe. Il y a quelques années, elle a ouvert un compte Instagram où elle ciselait des bribes de phrases en chantier, avant de passer à l’acte dans la rue, en inscrivant sur les murs des pochoirs textuels signés de son blaze de secrétaire 2.0. Grâce à sa notoriété de street artist, elle est désormais suivie par plus de 25 000 abonnés. Invitée par des festivals et sollicitée par des commandes locales, elle sillonne les villes de France pour y inscrire ses « mots d’esprit ». Elle s’est lancé un nouveau défi : transfigurer sa poésie urbaine sur les pages d’un livre.
Vernissage le jeudi 29 septembre jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 29 septembre au dimanche 9 octobre 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Vermibus's work has always been about unveiling new images out of existing ones. He reveals alternative concepts through his dissolutions, creating new narratives that talk about the complexities of human existence. The raw images selected for this exhibition differ from the contemporary beauty and advertisement imaginary and puts under the solvent a series of black and white photos of the naked human body. The dissolution process frees the image from its original context, creating a new visual language. Allegoria is defined as a figure of speech in which the message is conveyed through symbols and metaphors. In this new collection, the artist is emphasizing the resignification and the new narratives that convey an alternative meaning. A meaning that talks about the individual, leaving aside the literal meaning to go deeper into the abstract.
The aim of this show is to leave the viewer in an intimacy moment with each painting and let this one speak to it through public and private meanings.
Le travail de Vermibus a toujours consisté à dévoiler de nouvelles images à partir d’autres images préexistantes. Ses interventions au solvant révèlent des concepts alternatifs et créent de nouveaux récits évoquant la complexité de l'existence humaine. Les images sélectionnées pour cette exposition se démarquent de l'imaginaire collectif de la beauté contemporaine et de celui de la publicité, présentant une série de corps nus en noir et blanc. Le processus de dissolution libère l'image de son contexte d'origine, créant un nouveau langage visuel. Allegoria prend la forme d’une figure de style dans laquelle le message est véhiculé au travers de symboles et de métaphores. Dans cette nouvelle exposition, l'artiste met l'accent sur la redéfinition et les récits déviés vers un sens nouveau. Un sens qui parle de l'être, laissant de côté l’approche littérale pour aller plus loin vers l'abstraction.
Le souhait de l’artiste est d’offrir au spectateur un moment d'intimité avec chaque œuvre et de les laisser parler dans leurs dimensions publique et privée.
15.09.2022 > 25.09.2022
Codex Urbanus - « Bestiaire marin »
Vernissage le jeudi 15 septembre jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 15 au dimanche 25 septembre 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
L’océan agit comme un sorcier alchimique qui nous tend un miroir déformant du monde terrestre et familier qui nous entoure. Ainsi une anémone, un lièvre, une araignée, un lion ou un bête concombre se muent en créatures inattendues et fascinantes dès qu’ils sont « de mer ». À l’instar de la mer, le mur sous les Poscas de Codex Urbanus affiche un mélange sans fin des animaux que nous connaissons pour proposer aux passants des hybrides fantasmagoriques qui semblent tout droit sortis de l’esprit chancelant d’un moine copiste embarqué sur une caravelle avec moult rhum… Ces deux bestiaires, le marin et le mural, étaient voués à se rencontrer. Ils s’étaient déjà apprivoisés dans les rues de Paris au fil des nuits, et ils se retrouvent aujourd’hui en galerie, pour une célébration graphique de la diversité marine et de cet univers aquatique et iodé qui nous est à la fois étranger et tellement familier. Larguez les amarres, hissez la grand voile et partez à la découverte des curiosités zoologiques marines qui vous attendent dans les rocs, les sables et les abysses du cabinet d’amateur…
01.09.2022 > 11.09.2022
Théo Haggaï - « Les Rêveurs » - Chapitre 1 : Les origines
Vernissage le jeudi 1er septembre jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 1er au dimanche 11 septembre 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Pour sa première exposition personnelle au cabinet d’amateur, Théo Haggaï présente le récit d’un conte mythologique, qu’il a imaginé, à travers un ensemble de gravures sur bois, teintées d’or.
L’histoire des Rêveurs, silhouettes récurrentes de son travail, commence ici. Découvrez le premier chapitre.
Théo Haggaï est un peintre muraliste et graveur sur bois né en 1990. Vivant et travaillant à Paris, sa pratique le conduit à intervenir de façon régulière dans l’espace urbain.
S’intéressant à la répétition du motif et à sa signification, Théo Haggaï représente depuis plusieurs années des mandalas monumentaux. Y figurent ses personnages de rêveurs, des silhouettes minimalistes, mains tendues vers un rêve commun : une planète saine et harmonieuse.
En creusant la symbolique, l’artiste dépeint alors une nouvelle humanité avec ses peurs, ses colères et ses désirs. Ses oeuvres illustrent l’exil, la guerre, le racisme mais également la solidarité et l’espoir. Théo Haggaï partage son rêve. À l’aide de ses pinceaux et de ses outils de gravure, il puise dans la conscience du monde qu’il habite la matière d’un rêve à partager.
Théo Haggaï est résident de l’atelier La Cale, où des artistes contemporains tels que Ninin, Jaeraymie et Noty Aroz sont connus pour leurs démarches mêlant art urbain et arts narratifs.
Exposition du jeudi 21 au dimanche 31 juillet 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Jordane Saget est un artiste contemporain et street artist basé à Paris. Tel Keith Haring dans les rues du New York des années 80, les oeuvres de Jordane façonnent l’identité du Paris d’aujourd’hui.
Depuis plus d’une décennie, Jordane a développé un style visuel unique, fondé sur un trio de lignes évocatrices quoique énigmatiques, devenant un élément distinctif dans l’univers du street art parisien.
Depuis 2015, il sillonne les rues de Paris pour dessiner à la craie ou au pinceau ses lignes — sans jamais signer ses oeuvres. En quelques années, il crée ainsi près de 2000 oeuvres, éphémères ou permanentes.
De plus en plus remarqué, son travail a fait l’objet de plusieurs expositions et entraîne de plus en plus de collaborations avec divers artistes et organisations : Jean-Charles de Castelbajac, Agnès b., Printemps, Les Enfoirés, la Samaritaine…
Et les lignes continuent à se tisser.
30.06.2022 > 10.07.2022
Nadège Dauvergne - « Si j'étais un oiseau... »
Vernissage le jeudi 30 juin jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 30 juin au dimanche 10 juillet 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
On raconte que le peintre Zeuxis, en son temps, aurait si bien peint des grappes de raisin que des oiseaux, croyant à des vraies, les auraient picorées. Il y a de cette intention dans les œuvres présentées pour cette exposition. Rendre par le crayon ou la couleur ce qu’il y a d’excitant pour les papilles dans la perception d’un fruit mûr à point. Et cela passe par l’étude, celle de la pulpe du grain et de sa transparence. De la peau, recouverte de sa pruine gris bleutée et qui contraste avec le jaune d’or de la chair. Mettre de l’orangé pour évoquer le sucre, pour que la rondeur des baies, bien serrées de la grappe, brillante et cireuse, encapsule le soleil de l’été.
De ce travail d’atelier, inspiré des peintres de natures mortes du XVIIe siècle, les esquisses posent les bases de réalisations futures. Aux formats XXL, aux pinceaux et en couleurs, au sol ou sur façade. Maintenant prenez le sarment, puis passez par la rafle (évitez la vrille c’est une impasse). Suivez le pédoncule puis le pédicelle, il faut dépasser le bourrelet pour atteindre le pinceau. Le grain est entre vos doigts et se détache tout seul... vous salivez !
ND le 05 juin 2022
16.06.2022 > 26.06.2022
Philippe Hérard - « Grises mines »
Vernissage le jeudi 16 juin jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 16 au dimanche 26 juin 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Pour sa sixième exposition personnelle au cabinet d'amateur, Philippe Hérard présente une série de dessins à la mine graphite, en noir et blanc ou presque. Chacune de ses expositions est un remise en question, un renouvellement. Il nous emmène petit à petit dans un univers de plus en plus personnel, entre poésie et humour.
Philippe Hérard est né à Châlons-en-Champagne, il vit et travaille à Paris. Il se consacre dès l’adolescence à la peinture. Il suit pendant trois années les cours de l'Académie Charpentier, où il étudie le nu, la sculpture et la couleur, entre autres. Ses toiles sont exposées en galeries ainsi que dans divers salons en France et à l’étranger. Depuis 2009, il complète son travail sur toile en déclinant ses personnages anonymes sur papier kraft qu’il colle sur les murs de Paris et d’ailleurs. Un nouveau souffle pour le peintre dont le langage plastique se situe entre effacement et dévoilement... Il participe cette année en juin, au Klive, festival de street art de Sète.
2014 - « Vis-à-vis ! »
2015 - « Minimenta »
2015 - « A vous de jouer ! »
2016 - « du Noir au Blanc »
2016 - « L'expo qui n'existait pas ! »
2016 - « Ticket to ride ! »
2016 - « Hérard / Levalet - Conversation »
2016 - « A vos souhaits ! »
2017 - « Le Mur Carrière-Mainguet (2011-2016) »
2017 - « Métamorphose(s) »
2017 - « A / Z »
2017 - « Etoiles & Stars »
2018 - « Retour à la normale... Dessine moi un mouton ! (1968-2018) »
2018 - « Duos et plus si affinités »
2018 - « Vingt ans avant après... »
2018 - « Je me souviens »
2019 - « STREETARTMINIATURE »
2019 - « NU en décembre »
2020 - « Street Summer Show ! »
2021 - « Correspondance(s) »
2021 - « Retrouvailles »
2021 - « CollectOR »
02.06.2022 > 12.06.2022
Aurel Rubbish - « Petites coupures »
Vernissage le jeudi 2 juin jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 2 au dimanche 12 juin 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Dix ans après sa première exposition personnelle au cabinet d'amateur « The Paper-Cut Solo Show », Aurel Rubbish est de retour avec « Petites coupures ». Il s'attaque aujourd'hui au papier-monnaie, aux titres et bons au porteur.
Aurel Rubbish est né en 1980, il vit et travaille à Besançon. Autodidacte, la rue est son premier terrain d’expression, dans les années 2000. Séduit par la rapidité d’exécution du pochoir, il va cependant faire évoluer sa pratique vers le papier-découpé. La rencontre avec un collectionneur qui se porte acquéreur d’une matrice de l’un de ses pochoirs, le pousse à se consacrer entièrement à cette technique dans son atelier. Ainsi, il sera le premier Français à présenter ses œuvres habilement découpées en les collant dans la rue, dès 2011.
Le travail d’Aurel Rubbish est influencé par certaines périodes de l’histoire de l’art comme le Symbolisme, l’Art Nouveau, influences auxquelles il associe l’univers du tatouage, des icônes religieuses (canivet), ou son goût pour les vanités. Le thème de la nature est également très présent dans ses œuvres. Il se réclame comme étant proche du courant contemporain pop-surréaliste, ou du mouvement street-art à ses débuts.
Dans la série Métamorphosis, entamée en 2013, Aurel Rubbish réalise sur des grands formats de papier des fragments de visages qui fusionnent avec des motifs végétaux et organiques, le tout dans des encadrements à motifs géométriques très détaillés. Ses découpes précises sont exécutées sur du papier noir, qu’il combine à la feuille d’or. La même année, la série des Hands Study montre le travail d’Aurel Rubbish sur d'autres supports. Entièrement réalisée sur des carnets Moleskine ouverts sur les pages centrales, cette série considère les mains sous toutes ses formes. Associé à des ornements floraux, le rendu des mains ressemble quasiment à de la dentelle.
Sa technique de découpe délicate et perfectionnée fait de lui le représentant français du paper-cut. Sa première exposition solo a lieu au cabinet d’amateur en 2013. Graffiti Art magazine l’introduit dans son hors-série Le Guide de l’Art Contemporain Urbain 2013. La même année, il est invité par l’association Le MUR pour réaliser une œuvre éphémère sur un mur du XIe arrondissement de Paris. En 2014, il collabore avec l’artiste américaine Swoon, avec laquelle il partage une affinité artistique et technique, pour une œuvre à quatre mains. En 2015, il participe à Los Angeles à l’exposition collective Paper Cut, qui réunit les 6 artistes les plus talentueux dans ce domaine.
Il travaille avec plusieurs galeries en France, en Suisse et aux Etats-Unis. En 2022, il participe à l'exposition « Hey ! le dessin » au musée de la Halle Saint-Pierre à Paris.
04.06.2022 > 12.06.2022
Aurel Rubbish - « Petites coupures »- Le catalogue
Samedi 4 juin de 15 à 19 heures
Rencontre dédicace avec Aurel Rubbish !
Catalogue, numéroté et signé, tirage limité à 50 exemplaires
11.05.2022 > 22.05.2022
Mahn Kloix - « Fragments de Voyages »
Vernissage le mercredi 11 mai jusqu’à 21 heures
Exposition du mercredi 11 au dimanche 22 mai 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Pour son solo show à la galerie le cabinet d’amateur, Mahn Kloix nous présente sa série « Fragments de Voyages ».
Une exposition composée d’illustrations sur papier mi-teinte, tracées à la mine graphite et crayon blanc et parfois rehaussées de touches dorées ou colorées.
« Fragments de Voyages » propose un regard sur la situation migratoire mêlant figures tantôt métaphoriques tantôt réalistiques. Souvent traité sur le thème de la peur ou encore de la culpabilité, le sujet des migrants est rarement abordé dans sa complexité… Mahn Kloix nous présente un regard centré sur ces hommes, ces femmes et ces enfants loin des clichés habituels… Un regard composé avec des extraits de photographies de presse glanées dans les médias à travers le monde : des cadrages resserrés sur des mains qui se disputent une bouteille d’eau, sur un ensemble d’objets, maigres possessions de l’exil ou objets abandonnés sur les rivages… Mahn Kloix nous propose aussi des images métaphoriques élaborées à partir d’images de mode qu’il a détournées où hommes et femmes font face à leur destin, tragique certes, mais avec douceur et dignité… L’artiste explore ainsi tout son spectre de travail passant d’extraits de presse, crus et dépourvus de mise en scène, à une vision poétique et théâtrale de son sujet. Un accrochage inédit au dessin abouti et vibrant : « c’est un sujet fort, parfois douloureux, que j’ai voulu montrer avec délicatesse, comme pour rendre leur humanité à ses voyageurs qui pourraient être vous ou moi ».
21.04.2022 > 01.05.2022
Bault / Horor / Nosbé / Veks Van Hillik - « Entre quat’z’yeux »
Quatre artistes, quatre visions, une exposition au cabinet d'amateur !
Vernissage le jeudi 21 avril jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 21 avril au dimanche 1er mai 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
05.04.2022
Codex urbanus - « Musée - Muses »
Mardi 5 avril 2022 de 17 à 21 heures, sortie du catalogue « Musées - Muses » et dédicaces par l'artiste !
Tirage limité à 50 exemplaires, numérotés et signés, en vente au cabinet d'amateur.
Inspirantes, créatives, novatrices, engagées, et… absentes. C’est ce constat qui, lors d’une visite du Louvre à la recherche vaine d’un éventuel tableau d’Artemisia Gentileschi, m’a fait prendre conscience de l’extraordinaire désintérêt des institutions pour la peinture ancienne féminine, probablement avec cette idée que dans les siècles passés, les femmes n’avaient pas trop de prérogatives, et que donc il était normal de ne pas les retrouver dans les musées. Il se trouve juste que cette affirmation est objectivement fausse : des femmes artistes, il y en a plein l’histoire de l’art, et en plus elles avaient souvent un succès à faire pâlir de jalousie leurs contemporains masculins. Mais elles ont toutes été effacées par la postérité, sauf quelques rares exceptions à partir de la fin du XVIIIe siècle. La postérité n’est pas toujours très recommandable -Vermeer ou le Caravage aussi ont passé quelques siècles dans les oubliettes de l’Histoire- mais dans le cas de ces peintres femmes, il est grand temps de les regarder à nouveau, à une époque qui se veut celle de la Parité et de l’Egalité, car leur occultation est particulièrement injuste et contre-productive.
En tant que Street Artist, je sais que le meilleur moyen pour des oubliés d’être vus, c’est encore les murs, alors pour ce mois de mars dédié aux droits des femmes, j’ai eu envie d’installer un petit musée temporaire, avec une sélection des plus grands talents de l’Histoire de la Peinture Ancienne qui se trouvent être des femmes, en rappelant leurs hauts faits et en observant leur place dans les collections publiques actuelles. Il ne s’agit pas d’un travail universitaire, mais simplement d’un hommage émerveillé à des collègues artistes dont je pense que les trajectoires devraient être plus connues. Et ce n’est qu’une sélection car j’aurais pu en montrer le triple, et j’ai dû en sacrifier - mais Elisabeth Sirani, Barbara Longhi, Fede Galizia, Charlotte Mercier, Catherine Girardon, Angélique Mongez et une immense cohorte d’autres auraient mérité leur place sur ce panthéon temporaire et gris de la rue.
Gris, c’est la couleur de ce musée, comme des limbes urbains, cette zone grise dans laquelle toutes ces artistes se trouvent actuellement, documentées dans les publications spécialisées et les recherches mais oubliées du grand public et des institutions. (Bon, gris aussi parce que les impressions couleurs c’est également hors de prix, et que le curateur a un budget à respecter).
PASSANT, je t’invite donc à regarder ces quelques oeuvres et à découvrir leurs créatrices, qui ont déjà dû travailler à contourner toutes sortes d’obstacles de leur vivant - sujets interdits aux femmes comme la peinture d’histoire, interdiction aux femmes de suivre les enseignements artistiques, interdiction aux femmes d’étudier des modèles nus, etc.- et qui maintenant comptent sur ton regard pour s’extraire de l’oubli et prendre la place qu’elles méritent, de plein droit et avec gloire, dans la longue Histoire de l’Art, cette spécificité humaine qui nous lie tous.
24.03.2022 > 03.04.2022
Ender - « Mise en page »
Vernissage le jeudi 24 mars jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 24 mars au dimanche 3 avril 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Une nouvelle exposition commence toujours par une page blanche. Une page qui peu à peu va se noircir de mots, de titres, de ratures, d'idées plus ou moins vagues. Tel un flot, des mots encore des mots. Les œuvres naissent ainsi, au milieu de plein d'autres qui resteront à l'état d'intentions sur une feuille. Les œuvres émergent de cette manière, des écrits entourés, cerclés d'un trait fin, comme une bouée au milieu d'une mer d'idées pas encore concrétisées. Une mer de papier.
Le papier, voilà le point de départ de cette exposition. Non pas travailler sur le papier mais avec le papier.
Le papier tient une place importante dans mon travail, petit à petit il a cessé d’être simple support pour devenir partie intégrante de l’œuvre. Le déchirant pour lui donner du volume, le recomposant à la manière du Kintsugi, le froissant, le découpant, le modelant.
Dans mon travail, un nouvel axe, un nouveau thème ne s'impose jamais brutalement; il est souvent déjà présent dans les œuvres précédentes et se révèle lentement.
Ainsi le mot fragile a cessé d’apparaître alors que la fragilité continuait de s'exprimer autrement.
Les pièces de puzzle manquantes ont commencé à ajourer une partie du pochoir, puis de plus en plus, jusqu'à le faire pratiquement disparaître. Plus tard se substituant à la pièce de puzzle, c'est une partie du corps qui a été découpée. En l’ôtant, elle existe d'avantage. Cette série est la première page de cette exposition, Disparaître. La deuxième page est un retour en arrière. Créer c'est souvent laisser l'enfant en nous s'exprimer, confronter son regard au nôtre. Tel que l'on est, tel que l'on se voit. Portrait caché. La page suivante est une métaphore de ce que nous réserve parfois la vie, cette sensation de rouleau compresseur que l'on tente de freiner. Déroulement. La dernière page est saturée de mots, de phrases, d'histoires dans lesquelles on nage, flotte, plonge et parfois se noie. C'est le temps qui passe, le temps suspendu, le temps que l'on perd ou gagne. Le temps qui nous est imparti et ce que nous en faisons. Des livres et moi. Page après page, chapitre après chapitre, quelle en sera votre lecture ?
Ça, c'est une autre histoire...
10.03.2022 > 20.03.2022
« Cartes sur table »
Le cabinet d'amateur a demandé à 17 artistes urbaines de travailler sur des cartes à jouer !
Avec : Agathon, Akelo, Ami Imaginaire, Sabrina Beretta, Béton Spirit, Mélanie Busnel, CAL, Carole B, La Dactylo, Nadège Dauvergne, Demoiselle MM, Emyart’s, Lady K, Louyz, Marquise, Parvati, Petite Poissone...
Vernissage le jeudi 10 mars jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 10 au dimanche 20 mars 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
03.03.2022 > 06.03.2022
Codex Urbanus - « Promenade »
L'artiste Codex Urbanus sort son premier roman : Promenade !
Alors qu’il doit s’enfuir de Montmartre pour une raison mystérieuse, Codex Urbanus trouve refuge chez une parente au sein de la mythique cité de Chrysalis. Ne sachant combien de temps durera son exil, il se met à explorer la ville en sa compagnie, à la découverte de ses rues et de ses palais, de ses restaurants et de son histoire, de sa faune et de sa flore, se délectant de toutes les anecdotes qui rendent cet endroit fabuleux.
A l'occasion de sa parution chez Forgotten Dreams, le Cabinet d'amateur organise une exposition des dessins originaux réalisés pour accompagner l’œuvre. Une quarantaine de croquis inédits seront ainsi présentés, ainsi que la carte de la mythique cité de Chrysalis.
Des exemplaires numérotés, des plans de la ville pliable ainsi que des marque-pages inédits seront à découvrir à cette occasion !
Vernissage le jeudi 3 mars jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 3 au dimanche 6 mars 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
17.02.2022 > 27.02.2022
Marie Rameau - « D’ouest en est, d’est en ouest »
Vernissage le jeudi 17 février jusqu’à 21 heures
Exposition du jeudi 17 au dimanche 27 février 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Dans Essais sur le beau en photographie, Robert Adams écrit : « Les images de paysages ont, je pense, trois vérités à nous offrir : géographique, autobiographique et métaphorique. La géographie seule est parfois ennuyeuse, l’autobiographie souvent anecdotique, et la métaphore douteuse. Mais ensemble, comme c’est le cas dans les meilleures œuvres d’Alfred Stieglitz et Edward Weston par exemple, ces vérités se consolident l’une, l’autre et renforcent ce sentiment que nous essayons tous de garder intact : une tendresse pour la vie. »
Je suis née au bord de l’océan, là où la mer, linéaire et infinie, laisse à peine, parfois, une vague venir tourmenter son austère dessin.
Robert Adams parle de la nécessité d’aimer ses propres paysages, ceux de l’enfance, pour en aimer d’autres. J’ai longuement quitté ces paysages, choisit d’autres lieux à photographier, seule possibilité de pouvoir un jour revenir à la source mère.
Je suis allée marcher dans la neige, au cœur des forêts primaires, en Bohême, en Pologne, en Lituanie, toujours plus vers l’Est. Je voulais faire partie du paysage, ne plus lui faire face, avancer vers l’horizon en ayant le sentiment que peut-être on peut l’atteindre, puisque les perspectives se succèdent à l’infini reculant l’horizon à chaque pas supplémentaire. Ces paysages-là m’apaisent par leur infinitude. Les arbres cachent d’autres arbres. Je fais un pas à droite : à côté des deux arbres qui figuraient dans le cadre de mon appareil tout à coup un troisième apparaît. Je suis au même endroit… à quelques centimètres près… et pourtant ce n’est plus du tout la même image… En tournant le dos, je suis ailleurs. Je songe alors à quel point le morcellement photographique est délicieusement amusant, un peu menteur…
J’avance, j’avance… Je ne peux plus reculer, l’empreinte de mes pas a marqué cet espace auparavant vierge de toute trace. Autour de moi : arbres et neige, noir et blanc.
La pratique du paysage est un repos que je m’accorde entre deux portraits.
Si j’arrêtais de photographier la nature, je ne pourrais peut-être plus photographier les êtres.
C’est si ardu de faire un bon portrait. Lorsque l’on photographie un paysage, on est au cœur de son sujet, les pieds dedans. Comment peut-on être au cœur d’un être ?
Mais que je m’adonne au paysage ou au portrait, la cause de l’acte photographique est toujours la même : l’inquiétude inhérente à la certitude de la perte. Même si mes représentations n’ont pas la précision attendue de la photographie, elles n’en demeurent pas moins des traces.
Pendant des années, j’ai photographié de manière récurrente, une boite à lettres accrochée à un arbre à l’entrée du jardin d’un ami, au début l’arbre vivait avec la boite. Puis l’arbre est mort, la boite est restée mais la désagrégation lente du tronc a nécessité un jour de la suspendre ailleurs.
Aujourd’hui, l’espace est vide. Mais chez mon ami, il y a la photographie de l’arbre à la boite à lettres… Lorsque je vais le voir, je vois cette image et me demande chaque fois si une lettre attend pour toujours qu’on vienne la lire…
A l’Ouest, le 07 février 2022.
Marie Rameau
Cette exposition est dédiée à la mémoire du Docteur Annette Chalut, 1924-2021,
Et à toutes celles qui nagent…
Photographe indépendante Marie Rameau est née en 1968.
Diplômée d’une école de cinéma en 1990, elle débute son activité de photographe indépendante sur les plateaux de cinéma, et surtout au théâtre.
Elle mène parallèlement un travail personnel, autant écrit que photographique, centré sur la mémoire, elle ne se départit pas de ce qu’il y a eu avant soi.
Sa quête d’images se fait autant dans une introspection de sa propre histoire, que dans l’Histoire avec un grand H.
Depuis 2002, elle consacre une grande partie de son temps à la résistance et à la déportation des femmes françaises, pendant la dernière guerre mondiale. Elle a écrit deux ouvrages sur le sujet, ce qui l’amène à intervenir fréquemment en milieu scolaire dans le cadre du Concours National de la Résistance et de la Déportation.
Expositions :
Décembre 2016 - Des Françaises à Ravensbrück - Centre de la résistance et de la déportation Arles
Novembre 2016/février 2017- Eloge de l’âge - Résidence à Olonne sur Mer - Mai 2017 - L’éloge de l’âge en Pays d’Olonne - Olonne sur mer
Avril 2017 - Un nuage passe - Galerie à l’écu de France -Viroflay
Septembre 2017 - Paysages silencieux - Aimé-Londres
Décembre 2017 - Paysages - Galerie Louis Dort- Paris
Mai 2018 - Des Françaises à Ravensbrück - Théâtre du Petit Colombier- Angoulême
Octobre 2018 - Au creux du cou # I, Au bord de la mer # II, Portes Ouvertes des ateliers de Montreuil
Novembre 2018 - En hiver un pull-over s’échangeait contre quatre morceaux de pain - Eglise des Pères Prieurs – Arles
Mars 2019 - Art-up Lille
Avril 2019 - Art-Fair Bruxelles
Novembre 2019 - Fotofever Paris
Juillet-Septembre 2020 - Fabriqueurs d’images- Galerie Le Lieu - Lorient
Bibliographie :
« Autoportrait des Bluets » au Temps des Cerises avec Monique Houssin - 2007.
« Des femmes en résistance 1939-45 » Editions Autrement - 2008.
« Souvenirs » Editions La Ville Brûle » - 2015
Exposition du jeudi 13 au dimanche 23 janvier 2022 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
De la sérigraphie au gaufrage blanc sur blanc, Michelle a su se libérer de la technique, de la machine, tout en gardant cette constante rigueur tout au long de sa vie.
En passant par le Minimalisme, le Constructivisme jusqu’à l’Expression libre.
Fidèle à son atelier, elle rendait visible son idée de l’art, c’est-à-dire : la répétition, la superposition, la finesse et l’espace.
Elle est passée de la saturation à presque l’invisible, avec une dextérité propre à elle.
En sculpture, elle aimait la transparence et le mouvement d’un fil oscillant au moindre courant d’air.
Partant du mur, du sol ou du plafond, rien n’était impossible pour elle.
Quotidiennement, elle était perchée sur son échelle, marteau et clous à la main.
C’est ce que je retrouve dans ce travail inachevé : la liberté, le plein, le vide et l’espace.
Elle se disait une artiste du silence : « mon travail parle pour moi ».