Du matériel à l’immatériel,
de l’approche naturaliste à une vision esthétique,
Philippe Soussan nous donne à voir non seulement ces quelques
plantes disposées sur la vitre d’un scanner, mais l’avenir
du vivant numérisé et dématérialisé.
L’original disparaît pour laisser place
à son image et à chaque évolution technologique
il s’en suit une perte d’informations.
Les Correspondances foliacées d’Alain
Pichlak et de Cyril Villain prennent un autre chemin, l’image
et le texte se mélangent, le langage pictural prend le dessus
en accumulant les signes.
Peinture ou photographie, qui rendra compte du réel
?
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