Ni abstraite, ni
figurative, la peinture de Jean-Christophe Ditróy laisse
au spectateur l'entière liberté d'interprétation.
Il propose ses paysages myopes, instantanés flous et ses
ambiances brumeuses, oniriques, teintées de romantisme, comme
un héritage bien digéré de Turner ou de Zao
Wou Ki. Les matières, très présentes, souvent
rugueuses, scénarisent les couleurs à coups de griffes
ou de stylet, laissant apparaître des plaies ou des structures,
comme pour rappeler l'éternelle ingérence de l'humain
dans la nature.

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